La loi Tunisienne n°52 sur l’usage et le trafic de drogues a été réformée en 2017 pour donner aux juges le pouvoir discrétionnaire d’évaluer les circonstances atténuantes lors de la détermination de la peine – une disposition qui a eu tendance à exacerber les inégalités sociales plutôt qu’à les corriger. En février 2021, Avocats Sans Frontières et plusieurs partenaires en Tunisie ont publié un Policy Brief analysant l’impact de la loi n°52.
Lisez le brief ici.